Ca sous-entend de construire des cours utilisables à distance : courtes séquences vidéo, formats pdf ou powerpoint... bref un gros travail en amont du début de l'UE. C'est faisable, ayant déjà tous les cours testés et approuvés, je pouvais le faire.
Le gros hic, c'est que les étudiants sont tous en alternance. Ils vont pendant un ou deux ans avoir une double vie : trois semaines par mois en entreprise et une semaine par mois en cours au Cnam. Les âges des étudiants variant de 20 à 50 et plus, certains ont une vie de famille en plus de leur vie scolaire et professionnelle. Je ne voulais donc pas leur rajouter de temps de travail hors des cours.
Exit la classe inversée.
Si le sujet de la classe inversée vous intéresse, vous trouverez des tonnes de documentation sur le sujet en ligne, à 95% sur le premier degré, on trouve très peu d'exemples concernant le supérieur.
Juste deux références :
Les cahiers pédagogique spécial classe inversée ou plutôt classeS inverséeS, il y a autant de classes inversées que d'enseignants qui la pratiquent.

Un excellent ouvrage sur la pratique de la classe inversée dans le supérieur, avec un cadre théorique, des recherches universitaires, des exemples de différentes matières... une mine d'or pour ma réflexion !
En particulier le dernier témoignage de Jean-Charles Cailliez, dont je vous parle dans le prochain billet.
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